samaêl montgomery ♠

Quel est votre avis général sur le sommet de Copenhague et tout ce qui tourne autour? Pensez-vous qu'il y aura une utilité à tout ça ou non?
Je vous le dis franchement avec mon travail et le peu de vie qu'il me reste à coté, la Terre reste le cadet de mes soucis. Même si bien entendu je fais des efforts, et j'essaie de suivre un maximum les informations le soirs, mais le fait est que je trouve que c'est trop. Il y a bien trop de monde et ca m'en donne mal à la tête, en réalité c'est juste pour faire savoir que la ville est bien vivante. Inutile.
Parmi toutes les personnes ici présentes, avez-vous un rôle particulier ou non?
Même l'homme invisible serait plus utile que moi là-dedans. J'y connais rien et je n'y consacre pas tout mon temps, j'ai une vie et un travail, c'est essentielle pour moi et puis il y a déjà assez de personne pour ça.
La cause du réchauffement climatique vous inquiète-t-elle?
Comme j'ai déjà du le dire, c'est inquietant oui, il faut s'en soucier oui, il faut en discuter oui, mais tout ça ce n'est pas pour moi. Quand j'ai donc une conversation civilisée avec quelqu'un, ce n'est la principale chose dont je discute.
Selon vous, devrait-on aborder plus souvent la question de l'écologie?
DEpuis que je suis à Copenhague, on l'aborde à mon gout déjà assez souvent, alors peut-être ailleurs oui, mais pour ce qui est d'ici, ça ira.
Quels sont les petits gestes que vous faîtes chaque jour pour essayer de contribuer un minimum à la sauvegarde de notre planète?
Je fais moins l'amour. C'est plutôt du au fait que je n'ia personne avec qui le faire, mais passons. J'étteins ma lumière en sortant d'une pièce, je gaspille au moins l'eau, j'étteisn mes appareils tel que l'ordinateur et la télévision. Est-ce suffisant ?

I. THE BEGINNING OF A LIFE

Les joues pleines de larmes, beaucoup de cris, mais à la fin de la journée un sourire aux lèvres bien plus qu'énorme pour cette jeune mère de trente ans et quelque. Jeune interne dans l'hopital de Seattle, femme mariée depuis ses vingt ans, belle et talentueuse, et aujourd'hui mère, elle avait tout dans la vie. Mais le bonheur n'arrive jamais seule comme on dit, et elle mouru après avoir accouché. Une hemorragie. Ce fut dure pour son mari, qui du élever seul leur fils Samaêl qui ne comprenait encore rien. A l'hopital personne n'oublia la jeune interne, son père décida même de donner le nom de la jeune femme. Cette femme c'est ma mère, cet homme mon père, et ce nouveau-né c'est moi. Mon arrivé dans ce monde, en Amerique avec un père ouvrier et une mère morte. Ca aurait pu être pire finallement, mais il m'a toujours manqué une présence maternelle et je vais pas vous mentir, mon père n'était pas doué pour être père. Il ne savait pas me parler, pas m'engueuler, pas me soutenir. J'ai donc du vivre presque tout seul. J'ai décidé très jeune de ma futur vie. Premièrement je sauverais des vies, comme ma mère, chirurgien ou ambulancier, en rapport avec la medecine en tout cas, deuxièment j'aurais de l'argent, une belle maison et une femme, blonde de préférence, mais pourquoi pas rousse ou brune. Deux enfants, un garçon à qui j'apprendrai le football et une petite fille qui à l'adolescence me detestera de menacer tout ces petits copains. J'avais des projets, mais rien ne se passe jamais comme prévu.

II. AFTER THE JOY, AFTER THE HAPINESS

Plus tard, ma vie changea. Mon père commença à redevenir un homme, et se remaria avec une femme gentille cetre, mais trop collante à mon goût. Elle même était divorcée et avait une fille de mon age, on aurait pu bien s'entendre, mais elle était trop bimbo à mon goût et elle faisait des reflexions à tout bout de champ. J'ai vite eu envie de quitter le domicile familial, mais à cause de mes études, ce fut dure de trouver un metier et d'étudier en même temps. Je suis donc resté à la maison, à supporter tout ce pseudo bonheur de mariés et de femme encore adolescente. J'ai commencé à sortir, pour me changer les idées, et un jour j'ai rencontré Wolverine. Son prénom m'a intrigué, mais aussi sa beauté naturelle et son coté mysterieux. Puis j'ai appris à la connaître, et le temps passa, et elle devint une personne indispensable pour moi, toujours là en cas de problème, pour me reconforter, me soutenir. C'était un peu la mère, la soeur dont j'avais besoin. C'était donc une belle amitier, et puis un jour on a décidé d'habiter ensemble pour que je quitte mes "parents". A ce moment là, je débutais l'école de medecine, en quête de devenir un chirurgien aussi bon et reconnu que maa défainte mère.

III. AND TODAY, WHAT IS THE PROBLEM ?

Et une fois de plus, le temps est passé. Tout le monde a fait sa petite vie, dont moi, enfin presque. Avec les études, et par la suite le travail, je n'ai pas eu le temps pour me construire une famille, une vie privée. Mais ce n'est pas ça qu'il me manquait, devoir m'occuper de gamins pertubateurs et chialeurs, non merci, et devoir faire un rapport à sa femme à chaque fois que tu quittes le domicile conjuguale, encore moins. La vie de famille, et même de couple, ce n'est pas pour moi, et même pour la plupart des chirurgien.

PSEUDO
AVATAR
AVIS
PASSAGE EN JOURS SUR ABL
PROMET D'ÊTRE ACTIF
AUTRE

© crédit des icons